dimanche 30 novembre 2008

C'est reparti.

Me voilà de nouveau. Pour des raison de mise en repos forcé par mon ancien employeur j'ai dû stopper mes projet.
Bah oui. Quand les finances sont limitées et que l'avenir ne s'annonce pas très brillant, un plan de priorité doit se mettre en place ...
C'est le caf'Rac qui a morflé.

M'enfin, j'ai retrouvé un job qui me comble et les finances, sans être outrancières, me permettent de déplacer les priorités (tant pis pour volets à peindre, le remplacement du portail) j'ai bouffé mon pain noir. Un peu de pain blanc que diable !
Le reste attendra !

La semaine dernière se déroulait au au Parc Floral de Vincennes le Salon Moto Légende.
Mouais ... si l'ambiance est toujours là, j'ai trouvé que les présentations n'étaient pas à la hauteur des années précédentes.

Mais de toute façon je n'y allais que pour ça. J'avais bien l'intention de faire la bourse pour me trouver bracelets, pattes de phare et plus si l'occas se présente.

J'ai trouvé mon bonheur :



Puis hier je suis tombé sur un allumage électronique parfaitement compatible avec ma moto.
J'ai craqué :



Bon. C'est bien beau d'avoir casser la tirelire. Maintenant j'ai du taf.
J'y vais ...

mardi 10 juin 2008

Petites bricoles

Tout d'abord je dois sortir le rotor. Présentation de bloc :
A cet effet BMW vend une vis comme celle-ci :
Je ne l'ai pas et je compte bien m'en sortir sans. Pour cela je coupe un bout de tige métallique j'enfourne dans le trou puis je serre un long boulon dans le pas de visse... Je visse ... Je vis toujours ... Je visse en forçant comme une mule .... Je tord le boulon et le rotor n'a pas bougé d'un poil Colère

Je sort la vis et essaye de sortir ma tige. Rien à faire elle ne vient pas. Je n'arrive pas à l'attraper.

Qu'à cela ne tienne je vais la percer.
Très petite mèche je perce. Mais comme j'étais certain de la réussite de mon opération je n'ai pas pris la peine de relever la taille de cette fameuse tige. Tant pis je perce jusqu'à arriver en buté du mandrin de la perceuse.

Je passe à une mèche plus grosse. puis une autre ... Rien à faire je n'arrive qu'à obtenir de la limaille. Sans vue sur mes travaux. Ne voulant pas dégrader les pas de vis je m'arrête là.

Il ne me reste plus qu'une solution. Faire un arrache à ma façon.
Deux coup de tronçonneuse plus tard j'ai réalisé deux petites plaques que je vais inserer en force entre le fon du rotor et le carter en alu.
Je frappe avec un maillet pour inserer mes deux cales. Ça bouge de 2 à 3mm. J'enlève les cales et insère un burin plat.
Un coup de maillet pour faire levier et le rotor traverse la grotte à vitesse grand V victoire
Rien n'est cassé. Le rotor est vaincu. Je suis un gladiateur !

Je peux enfin déposer le carter pour accéder à la double chaine de distribution et voir l'état de la bête :
Tout est en très bon état. La double chaine parait neuve et bien tendue. Je fais un petit nettoyage de circonstance et voilà le travail :

J'en profite pour nettoyer aussi le carter alu et je referme. Les joints seront remplacés plus tard.

Je passe à la dépose de la boite. Très simple. 3 vis et un goujon plus tard elle est détachées du moteur et gis sur l'établi. J'en profite pour balancer une giclée de WD40 sur les vis de fixation de l'embrayage

Quelle crasse ! Un mélange d'huile et de poudre d'embrayage à envahi le moindre interstices
Avant de déposer le volant moteur j'ai pris soin de faire quelques repères.
Je gratouille, je WD40ise c'est vraiment crade

Il me faut impérativement faire du propre. Après avoir vidé un bombe de 240ml de WD40 j'arrive à ce résultat :


Pour finir je me penche sur le dixe d'embrayage. Comme je n''y connais rien j'ai besoin de vos avis éclairés. Pour cela j'ai pris trois tophs que voici afin de vous aider dans vos réflexions :


Qu'en pensez-vous ? Il est quel état est-il ?
Plus de tophs si vous voulez.

C'est à peu près tout pour le moment. Il me faut maintenant commander une pochette de joins afin de passer aux étapes suivantes.

jeudi 8 mai 2008

Galèèèèèèèèère

Le cadre était préparé. La peinture d’apprêt avait subit un léger coup de ponçage au papier à l’eau en 1000. Le tout rangé au fond de la grotte. Quelques déplacements de l’ensemble au fur et à mesure des besoins d’accès.

Sourire radieux sur mon visage. Il est temps de passer la première couche de noir brillant sur l’ossature.

Premiers coups de jets … La peinture se ride à un endroit.

Tout en continuant à badigeonner je me dis que ce n’est pas grave. Un petit coup de ponçage façon peeling énergique en viendra à bout. J’avance tranquillement au spray mais une envie pressante me vient confirmant par la même l’expression « Ça vient comme une envie de pisser » Mes affaires faites je retourne sur mon chef d’œuvre et là … Enfer et damnation ... Le cadre est parsemé de ces rides. Il y en a partout. C’est la catastrophe. J’essaye de réaliser rapidement un ponçage mais la peinture spéciale carrosserie à séchage rapide à déjà prie.

Plongé dans mon dégout je n’ai pas pris le temps de réaliser de photo et me suis empressé de passer une nouvelle couche de décapant sur le cadre.

Vous l’aurez compris, j’ai du remettre la totalité du cadre à nu.

Ce problème vient du fait qu’en manipulant le cadre pour pourvoir accéder aux étagères du garage j’ai du déposer par endroit quelques traces de graisse. Invisibles à l’œil nu mais biens existantes et apparemment en totale contradiction avec la physique moléculaire de cet amalgame.

Cette mésaventure assimilée je me lance dans la révision du démarreur. Il en a besoin je crois.

Démontage complet de tous les éléments, vérifications de composants. Tout va bien. Un coup d’apprêt. Un coup de bombe et voilà un démarreur tout neuf.


Je suis en forme et passe au té de fourche en commençant par un bon décapage :


Après bombage :


Avec les bouchons de fourche chromés ça va être tip-top.


Je me lance à nouveau sur la peinture du cadre. Afin d'éviter les manipulation (on dis jamais deux sans trois mais je ne essayer de déjouer l'adage) je décide suspendre le cadre sur mon échafaudage. Un bon bout de câble plus tard le squelette pendouille au gré de la brise.
Deux passes d'apprêt. Ponçage au 1000. Deux passes de peinture.

La photo n'est pas représentative du résultat. Mais je peux vous assurer que c'est nickel.

Je suis calmé et content.


samedi 3 mai 2008

Une petite bande


Récapitulatif des mes travaux en musique


La pelade

C'est au tour du cadre maintenant de se voir suivre sa cure de jouvence. L'opération semble être un travail de Titan. Il y a des coin et des recoins partout. Bon on verra bien.
Je pose la broche sur le pont et glisse le tout sous le soleil.


Une première couche de décapant. Plus de Décapex.
On passe aux choses sérieuses avec le V33 spéciale ferronnerie.
La première couche est passée. Et 1/2 heure plus tard la peinture cloque.
La brosse métallique est passée avec force énergie.
L'après-midi au complet sera nécessaire pour en venir à ce résultat :


Ce n'est pas forcément visible sur la toph :lol: mais il reste encore pas mal de points de peinture et je n'ai pas vraiment envie de passer deux jours à tout poncer.
Je fais donc un essai à la perceuse équipée d'une brosse métallique :



Ca devrait le faire ...

Un nouvel après-midi après voici ce que ça donne :



Dans mon élan je décide passer une première couche d'apprêt puis une deuxième :



C'est tout pour le moment. J'ai besoin de passer à autre chose que du ponçage.
La prochaine étape sera la révision du démarreur.

Faire tomber le gros plat

Ça y est il est tombé le gros à plat !

13h30 Vincent arrive à la maison. Comme promis et selon ça demande la machine à café est chaude et la décoction caféïnée fumante sort du percolateur.

De mon côté je n'ai pas eu le temps de déjeuner. Une petite salade tomate et thon rapidement faite sur le coin de table et nous commençons à discuté en nous repaissant chacun de nos denrées respectives.

Rapidement engloutis je roule deux clope histoire de nous donner des force et de l'inspiration. Il est déjà temps d'y aller.

Descente dans la grotte pour arriver devant l'objet de nos désirs



Un peu de lecture pour s'assurer de ne rien oublier (version officieuse : pour savoir kommenkçamarche )



Ma lecture avance et je donne les premières informations à Vincent qui commence à zieuter l'annimal.


Vincent est de bonne volonté et s'en sort très bien. Mais faut pas déconner. C'est moikélchef et je garde un oeil d'expert sur mon bébéaime.



Tout ce qui gène est enlevé et repéré ou revissé quand c'est possible afin de ne pas éparpiller les pièces.

Il est temps maintenant d'installer le petit pont qui viendra se loger sous le réservoir d'huile. Seulement la moto est sur la centrale.
Après concertation nous décidons que Vincent portera l'arrière alors que débéquillerais la centrale et présenterais le pont.


Nous reste plus qu'à enlever quatre boulons et le moteur n'est plus maintenu par le cadre. Encore une petite réflexion sur la meilleure façon de le sortir du cadre. En trois coup les gros il est par terre.



Encore un petit effort et le moteur est posé sur l'établi.


Il ne reste plus qu'un squelette de ma moto.



Il doit être aux environ de 15h00 quand tout est terminé. il est temps de faire une pose roulées après cette opération emplie de succès.

Vincent se sent en forme et me dit qu'il attaquerait bien la foufourche.
Pas de problème.
C'est partie.
Nouvelle étude, réflexions et dépose.



Vincent satisfait du travail réalisé et voyant qu'il lui reste pas mal de temps cherche à trouver l'angle confortable.



Le té de fourche déposé la rencontre des deux Jedis des Yvelines peut alors commencer. En fait le vrai but de cette séance bricolistique.



Encore un bel après-midi de bricolage qui sans l'aide de Vincent aurait été impossible.
Merci à toi mon poto.